Été 1998. Le Minox est un cas à part. J’ai longtemps cherché un substitut au Canon GIII. La machine compacte qui nous suit partout. Un beau jour, Janine Paradis m’a proposé un Minox avec le flash, les étuis et tout. Je connaissais de réputation,
Catégorie : Relation avec l’appareil
La maturité ; le NIKON F 801.
Printemps 1996. Le Minolta X700 vient de mourir, peu de temps auparavant, j’ai échappé mon Sigma 21 / 35 par terre et il ne répond plus trop bien du diaphragme, Un investissement majeur est inévitable et le temps est venu de passer de focus manuel à l’autofocus, de la tradition à la modernité. la suite…
La première machine neuve, le Minolta XE-5
Fermont, printemps 1977. Ça ressemblait au Nikon F2. Pour cette raison, je l’ai préféré au XE-7 pourtant pas tellement plus dispendieux. Je n’ai pas fait les choses à peu près, c’est avec une 50mm/1.4 que la machine est arrivée à la maison. Ma première machine automatique. Débrayable, bien sûr… La suite dans Le carnet /…
Première acquisition ; le MINOLTA SR-3
Québec, printemps 1975. Les cours du soir en arts au CEGEP Ste-Foy m’ont fait rencontrer un ami de Thetford déménagé à Québec et dont je ne me rappelle malheureusement plus du nom. Sa blonde était impliquée dans le comité de l’éducation permanente tout autant que moi et c’est ainsi que nous avons repris contact. Il tripait…
Première rencontre avec un reflex ; le FUJICA ST –801.
Québec, printemps 1974. Un ami de ma sœur Claire (toujours elle…) possédait un Fujica ST 801. Il était du genre toujours fauché et il me l’a prêté un bout de temps dans l’espoir que je le lui achète. Comme j’étais moi-même du genre toujours fauché, je ne croyais pas pouvoir le lui acheter mais j’ai…
Le premier 35mm ; le CANON G-III
Thetford Mines, 1973. À cette époque, ma sœur Claire envisageait de faire des études en cinéma. Elle possédait un Canon G III mais ne l’utilisait pas. Elle m’a offert de m’en servir. Je l’ai utilisé régulièrement en 73, 74… La suite dans Le carnet / relation avec l’appareil.
Les premiers « Kodak » de ma vie
Ma tendre enfance fut bercée par les vedettes de l’époque, à savoir, les « kodak » en Bakélite qui utilisaient du film 126 ou 127. Le petit hublot rouge qui laissait voir passer la flèche et les numéros de pose, le flash à ampoules bleues que l’on visse sur le côté de l’appareil, le viseur « waist level »,…