Premier regard, premier constat. L’érosion des berges ne sera pas ici embrasse le paysage au grand angle. Pour se mettre dans le contexte, définir l’environnement et se donner une échelle de grandeur. La mer, le roc qui y plonge, qui se glisse sous les vagues, cette lumière que la brume diffuse audacieusement, ne laissant planer aucun doute sur ce soleil qui cherche à percer au dessus. Il y parvient, finalement, et c’est pour mieux révéler la coexistence du roc et de l’eau. Cette eau claire, restée captive à marée basse, les algues qui habillent les abords sont annonciateurs de bien des surprises.
Le visiteur est avisé qu’ici, les choses ne sont pas faites à moitié. Le granit sur lequel on se perd, les forces en présence, le passage du temps comme l’impression d’immortalité, tout est à la puissance 10…